Anglet : les Tontons Baigneurs  à l’eau par tous les temps

Les Tontons Baigneurs se retrouvent tous les jours, vers midi, quelle que soit la météo, sur la plage Marinella  SO 17/04

Rappel pour non cinéphiles 

 BOPB : Résumé des derniers épisodes

 

Le BORA ( Biarritz Olympique Rugby Amateur ) s'oppose à la délocalisation du BOPB dont elle détient la licence fédérale. En représailles, Jean-Baptiste Aldigé a stoppé le versement de la subvention de  600 000 euros/an et 

« menacé d’expulser » le BORA de ses locaux, situés dans la tribune Blanco d’Aguilera. SO 6/04

Maider Arosteguy  : « S’il ne respecte pas ses engagements, la Ville cessera de soutenir le BOPB ». 

SO 8/04

Jean-Baptiste Aldigé, président du directoire du BOPB et Louis-Vincent Gave, président du conseil de surveillance

         Qui pour lancer les clés des  

          Fêtes de Bayonne 202 .... ? 

@Anonyme406465

Avec Raoult, ça aurait de la gueule !

 Cours d'économie basque 

Depuis la fin de la semaine, plusieurs affiches sont apparues sur des murs d’Urrugne. Elles adressent un message violent. Et le slogan « Alde hemendik », - dégagez d’ici - en basque. Des mots de rejet, sur fond de pandémie de Covid-19, qui semblent tournés vers les vacanciers venus de la capitale, comme vers ceux qui s’établissent localement. SO 28/03

@baiona 64100

Comme cela notre économie vivra avec du piment d'Espelette, des cerises d'Itxassou et de la piquette d'Irouleguy. Et là, on est les rois du pétrole.

 @pratique64

Pour monter une mayonnaise il faut des oeufs, de la moutarde, de l'huile et un bon tour de main. 

L'économiste François Perroux a pu ainsi théoriser l'économie basque : des investissements immobiliers touristiques ( les oeufs ), l'attrait du pays basque ( la moutarde ), les dépenses des touristes ( l'huile ) et les plateformes de locations saisonnières ( le tour de main ).

 Aguilera : La Ville de Biarritz ne paiera plus 

                        ni l’eau ni le gaz 

La Ville de Biarritz a demandé l’installation de compteurs pour que le propriétaire du BOPB paie sa consommation d’eau et d’énergie.

Maider Arosteguy : « Selon le contrat ( 2003-2033) , la société verse à la Ville 1 500 euros annuels de loyer. Mais c’est la Ville qui a payé chaque année environ 50 000 euros ce qu’on appelle « les fluides », eau et énergie notamment. Il y a visiblement toujours eu des arrangements et des facilités mais contractuellement, ces postes sont à la charge du locataire ».

xabier64 

Les magouilles de l'ère Blanco ressortent