Bidart : le nouveau propriétaire du château d'Ilbarritz a des racines au Pays basque
En attendant de pouvoir aussi racheter le mouvement " EH ez da salgai - Le Pays basque n'est pas à vendre ", il veut dormir tranquille. Bruno Ledoux a donc tenu à faire état de ses quartiers de basquitude. Lisez-les ! C'est un peu long mais c'est du travail de Pro.
Pour sécuriser ses futurs travaux immobiliers, c'est de la com béton !
« Mon grand-père fut élevé par son oncle, Paul Détrie, général de division qui fut nommé en 1931 à la tête de la 36e division d'infanterie de Bayonne. Après sa retraite, Paul Détrie s'établit à Bayonne et s'investit dans de nombreuses activités dont la présidence du Syndicat d'initiative du Pays basque. Il créa un cycle de conférences sur l'Espagne au musée Basque. Mon grand-père maternel tomba amoureux de ma grand-mère, une fille Miremont de Biarritz, la célèbre lignée des pâtissiers. Ils se marièrent à Bayonne. Plus tard, ils firent l'acquisition de la Villa Mauresque Mar-y-Luz à Anglet. C'est là que j'ai passé quasiment tous les étés de mon enfance et de mon adolescence. J'ai appris à nager dans la célèbre piscine de la Chambre d'Amour, aujourd'hui disparue, et à surfer dans les vagues de la plage qui est devenue celle du VVF que j'ai vu construire. Par la suite, quand je me suis lancé dans l'immobilier, j'ai racheté un petit hôtel à Biarritz, avenue du Maréchal-Joffre. C'était en 1990. J'avais 25 ans. Je venais l'été travailler, faire les cafés et petits-déjeuners. Il s'appelait le Fandango. Aujourd'hui c'est redevenu un joli petit établissement deux étoiles, l'hôtel Parc Mazon. » S.O 11/8
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